Notre Action
● Militer pour les droits de la personne
● Plateforme d’autonomisation (Empowerment)
Pour les citoyens, par les citoyens
Le Mauritius Global Diaspora (MGD) est un organisme à but non lucratif, enregistré en 2020 au Royaume-Uni. La vision du MGD est incarnée en la personne de son fondateur, Covilen Narsinghen, Senior Legal consultant. Les valeurs du groupe convergent vers un objectif très précis, qui est de servir l’intérêt public. Le MGD constate la situation alarmante au pays en ce qui concerne les droits de la personne et réalisons que la Diaspora doit aujourd’hui assumer ses responsabilités pour faire entendre la voix des Mauriciens qui ne sont plus libres aujourd’hui d’exprimer leurs divergences, sans avoir à subir des menaces à leur intégrité physique ou morale.
Nous croyons que ce que nous chérissons, la paix, qui permet la justice et la liberté, est menacée. Agir devient alors un devoir moral pour nous, citoyens en mesure de nous engager.
Nous sommes des Mauriciens d’horizons divers, d’ici et d’ailleurs, avec des opinions politiques variées, qui s’expriment dans un environnement démocratique et convivial. Des gens qui se sont rencontrés un jour, la fleur au fusil sur un parcours du combattant, celui du Droit de vote des Mauriciens de la diaspora. Cette collaboration citoyenne fut une idée avant-gardiste qui voulait anticiper, plutôt que de réagir, face à la cinquième révolution industrielle dont l’imminence a été accélérée par la Covid. La levée sans précédent des frontières physiques nous happe dans des espaces numériques qui n’ont, pour cette génération surtout, mais pas que, rien d’un monde virtuel duquel on pourrait s’échapper à notre guise.
L’action
citoyenne aujourd’hui ne peut, si elle se veut efficace, camper sur des
stratégies d’organisation traditionnelle. La société civile a la possibilité
aujourd’hui de niveler le terrain de bataille pour une gouvernance plus humaine,
grâce à des outils technologiques et l’aisance avec laquelle se forgent des
collaborations transnationales.
Le 21e siècle annonce-t-il l’ère du
Citoyen?